lundi 29 juin 2015

Quand Manuel Valls remit la Légion d'Honneur à l'imâm radical Khalil Merroun.



Emission de RFi où Merroun réclame l'appel à la prière sonore du haut des minarets en France !

La mosquée d'Evry-Courcouronnes, ouverte en 1994, est une des plus grandes mosquée de France, et peut accueillir jusqu'à 5000 fidèles.  Ce fut l'intervention du cheikh saoudien Akram Aadja qui permit de réaliser le montage financier.

Elle est liée à la Ligue islamique mondiale, dont l'objet est la diffusion planétaire du Wahhabisme saoudien, mouture la plus extrême de l'islam. La mosquée d'Evry a été construite grâce à une collaboration entre la LIM (environ 9 millions d’euros) et la Fondation Hassan II (décoration intérieure). La LIM a longtemps payé les taxes de l'établissement. Le recteur de la mosquée d'Evry, Khalil Merroun, marocain, a été vice président de la section parisienne de la Ligue Islamique Mondiale ! Selon un document remis à la presse à l’occasion de la rencontre en 2002 du secrétaire général de la LIM avec Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, la Ligue est "le bras religieux de l'islam dit authentique", comprendre wahhabitte, et "s’efforce de faire connaître la charia et de répandre l'enseignement islamique à travers la construction d'écoles et d'instituts musulmans, avec appuis et apports". 


Merroun avait été dénoncé par les Harkis d'Evry en mai 1996, qui avaient tenté de reprendre le contrôle de la mosquée, en accrochant un drapeau français en haut du minaret. Le meneur du putsh, qui engendra de violentes batailles rangées, Nizar Laredj,lui reprochait d'être un « islamiste ». Toute l'affaire fut relatée dans un article édifiant de Aujourd'hui le Maroc.

La mosquée dispose d'un centre d'enseignement de l'Islam, 9 salles de cours d'une capacité de 25 élèves chacune. Le site en ligne de la Mosquée d'Evry-Courcouronnes propose aux non-initiés une découverte de la "Parole de Dieu" , dont voici un extrait :

"Pour un musulman, tous les aspects de la vie, le matériel et le spirituel, la religion et l’état, sont liés, car tout appartient à Dieu, et à Lui Seul. L’Islam donne des directives précises à suivre dans chaque domaine de la vie : au niveau individuel, moral, social, politique, économique" "Le Saint Coran est la source principale des enseignements de l’Islam et de la législation" (...)Une des caractéristiques essentielles de l’Islam est qu’il n’existe pas de conflit entre le spirituel et le temporel. Les deux sont intimement liés" source

"La religion et l'état sont liés" ; "le coran source de la législation" : une conception de l'islam qui plait à Manuel Valls ? On dirait !


L'année dernière ce fut l'imâm UOIF (Frère Musulman) de Bordeaux Tareq Oubrou qui fut décoré de la Légion d'Honneur 

"Le salafiste n'est pas un pauvre égaré de l'histoire de l'islam" Yadh Ben Achour, islamologue.


Le Salafisme, un islam déviant, marginal et non représentatif ?

Le professeur de droit Yadh Ben Achour (Université de Tunis, bio Wiki), spécialiste de l'islam politique, nous éclaire dans son ouvrage  La deuxième Fâtiha, l'islam et la pensée des droits de l'homme paru aux Presses universitaires de France, 2011 :

"L'erreur serait de supposer que ce salafiste est un pauvre égaré dans l'histoire de l'islam. Cessons de croire à la théorie de l'aberration qui veut que le salafiste ne représente pas l'islam ou que c'est l'enfant maudit de la famille. Il faut rappeler que ce dernier ne manque ni de cohérence, ni de force de conviction et de persuasion. Derrière lui, pour le soutenir, se profilent les armées du savoir religieux, avec des chefs remarquables: les 'Ash'arî, Shâf'i, 'ibn Hanbal, Bâqillânî, Ghazâlî, 'ibn 'Asâkir,Subkî, Fakh a-dine a-Râzi , 'ibn Taimiyya. Derrière lui, une tradition triomphant à travers les siècles de tous les adversaires, hérétiques, libres penseurs, poètes maudits, philosophes. Devant lui, sous sa bannière, sur tout l'espace de la planète, des peuples entiers se mobilisent pour la défense et l'intégrité de leur religion. Des Etats et des gouvernements se mobilisent pour le servir. La sainte alliance n'a jamais disposé d'autant de force" page 175

"La version intégriste représente une interprétation possible du texte fondateur lui-même ainsi que de son expression dans l'histoire. Ce point de vue serait même le plus proche de la vérité du texte. Mais le plus important est de garder à l'esprit que les différences entre les salafistes et les autres sont plus apparentes que réelles. C'est précisément de là que provient le malentendu le plus grave. Il convient, par conséquent, de rappeler l'existence d'accords fondamentaux, avec des divergences sur la seule action politique, entre cet islam intégriste et l'islam "de tout le monde". Sur le fond, les deux islams se retrouvent : la cité terrestre doit préparer la cité céleste, la parole incréee de Dieu définit les droits de Dieu et ceux des hommes, pour la restauration de l'ordre divin  et naturel le musulman est tenu par un "devoir de violence", qu'on ne peut nommer autrement et qui se manifeste notamment par la loi pénale (hudûd) et la théorie du djihâd. L'existence entière s'articule autour du culte et des prières qui rythment la vie, mais également autour des règles détaillées sur le licite et l'illicite moral et juridique. Le poid des anciens, salaf, pèse également sur les uns et les autres." page 179

Extrait des pages 91 et 92 de l'ouvrage La deuxième Fâtiha, l'islam et la pensée des droits de l'homme paru aux Presses Universitaires de France en 2011 :

"Naviguant entre la théologie et la politique, le fer coranique deviendra le glaive étatique. Tel est le socle de ces théories de la violence légitime, aussi bien celle de Dieu que celle de l'homme. La violence est un concept théologique et politique central. Les catégories de la raison politique et de la raison théologique sont identiques, puisque l'instauration de l'ordre de l'univers et de celui de la cité provient de la volonté de Dieu. C'est à partir de là que les théologiens ont distingué une violence reprochable, celle de l'homme désinstaurant par sa violence et sa malfaisance l'ordre instauré par Dieu, et une contre-violence irréprochable, celle de Dieu et celle de l'homme, réinstaurant l'ordre que l'homme a désinstauré. Sous ce jour, un devoir de violence s'exerce par les formes juridiques connues de la violence en terre d'islam : le jihâd, la violence pénale et toutes ses catégories (hudud et ta'zir)." 

(Le professeur de droit Yadh Ben Achour, spécialiste des idées politiques en islam, enseigne à l'Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman. Lors de la révolution tunisienne de 2011, il est nommé à la tête d'une commission de réforme des textes et des institutions, chargée de débarrasser le droit tunisien des dispositions du régime déchu de Ben Ali)

samedi 27 juin 2015

La police tunisienne absorbée par sa chasse aux non-jeûneurs, n'était pas sur les plages !


Lu sur le le quotidien libéral tunisien BusinessNews du 26/06 :

"La polémique de la semaine en Tunisie était sans conteste les descentes policières spectaculaires dans les cafés ouverts durant le mois de ramadan. On pourchassait les non-jeûneurs et l’ordre était venu directement du ministre de l’Intérieur, d’après une note de service (la 967/7) datée du 16 juin 2015, soit deux jours avant l’entame du mois saint. En dépit des contestations de la société civile et des communiqués officiels des partis de l’opposition (notamment Attayar), la police a continué sa chasse des non-jeûneurs. Pour calmer la polémique, le ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il n’y absolument rien de nouveau et qu’aucune mesure spéciale n’a été prise contre les cafés ouverts, cette année. La police est donc occupée à d’autres priorités, fermez le ban ! 
Il a fallu une vidéo d’une caméra de surveillance d’un vendeur de fruits secs à Monastir pour que l’on sache que le ministère de l’Intérieur n’a pas tout dit et que sa chasse aux non-jeûneurs était prioritaire. Comment cela ?
Au cours de l’une des descentes, un haut gradé a agressé physiquement une jeune fille, étudiante et employée dans un café ouvert en milieu de journée (voir l’article à ce sujet). La vidéo a créé la polémique et le ministère de l’Intérieur a dû rapidement sévir en décidant le limogeage immédiat du haut gradé en question."

vendredi 26 juin 2015

La collaboration politique avec les islamistes : l'enquête de 320 pages



Présentation cliquer :

Aux Bernardins, le professeur d'islam enseigne que Mahomet est annoncé dans la Bible et que la science prouve la divinité du Coran.




Le Collège des Bernardins, centre intellectuel dirigé par le diocèse de Paris magnifiquement restauré, a lancé il y a peu une "formation continue à distance à la culture éthique et religieuse" , c'est à dire des cours par internet.  Le document officiel présentant la formation propose de "connaître les éléments de base de la ou les religions étudiées, les rites propres à chacune, des dates et des personnages clés, ainsi que l'exégèse des textes". Gage de sérieux, sont garantis en professeurs les "meilleurs spécialistes de la question", et, pour ceux qui s'inscriraient à tous les modules, "l'ensemble de la formation est validée par un diplôme de master en culture éthique et religieuse délivrée par l'Université Catholique d'Ukraine (Lviv) en partenariat avec le Pôle recherche des Bernardins." Le tout placé sous l'égide du Cardinal André-Vingt-Trois. De quoi être rassuré pour les "apprenants", principalement des enseignants et des laïcs engagés dans le dialogue inter religieux.



Un élève qui nous a transmis le contenu vidéo du module "Histoire de l'islam" est tombé de sa chaise. Dès le premier cours, le professeur, Tarik Bengarai, dont nous reviendrons sur le profil, recommande vivement aux élèves de lire le livre "Muhammad dans la Bible, Jésus dans le coran" (La Ruche, 2007) de Abdenabi Alem, livre destiné à prouver que le prophète des musulmans est annoncé maintes fois dans la Bible.  "Un merveilleux livre que j'ai trouvé très pertinent" affirme Bengarai. Nous nous sommes procuré ce livre qui reprend les affirmations farfelues habituelles  des islamistes, telles que le Paraclet annoncé dans l'évangile de Jean ne serait autre que Mahomet (page 160) . L'éditeur de l'ouvrage insiste dès la préface sur le fait que "l'étude islamique de la Bible (Ancien et Nouveau Testaments) permet de déceler très clairement l'annonce du sceau des Messagers, notre très louangé Prophète Mohammed". N'ayant rien de scientifique, le livre de Alem s'efforce tout au long des pages à expliquer que la Bible est pleine "d'erreurs et d'invraisemblances" et à combattre "l'hérésie trinitaire". Mohammad serait annoncé dans l'apocryphe "Evangile de Barnabé" et dans un "fragment d'évangile trouvé au Yémen" se félicite l'auteur. 

Tarik Bengarai, le professeur d'islam des Bernardins, adopte la même indigence scientifique quand il affirme du haut de son autorité que le coran est divin:

" Pour les scientifiques, et d'après les recherches qui ont été faites, par le carbone 14 (…) il est le seul texte révélé conservé en l'état et sans aucune altération et ce depuis sa révélation jusqu'à ce jour. (…) les preuves littéraires , scientifiques ou spirituelles dressées jusque là par les savants spécialistes prouvent qu'il (le coran) provient sans aucun doute de Dieu le Sage et qu'il est valable pour toute époque et pour tous les hommes"  Cours Histoire de l'islam- Leçon III - 5 

Mais d'où sort ce Bengarai ? Sa biographie Linkedin nous indique qu'il a enseigné à l'IIIT, institut international de la pensée islamique créé par Frères Musulmans, dont le fondateur, Ismail al Faruqi (1921-1986) fut un grand théoricien de la confrérie aux Etats-Unis, qui a lancé la stratégie d' "islamisation des savoirs". Faruqi enseigne dans son livre phare Tawid, édité en français par l'IIIT, que les groupes humains refusant la pax islamica proposée par l'Etat islamique, même en gardant une attitude isolationniste pacifique, "méritent une réponse coercitive de la part de l'Etat islamique" page 217. Soit l'alternative classique entre la conversion, le pacte de la Dhimma, ou la guerre.


Mais Tarek Bengarai esf surtout connu pour être le fondateur du site islamique Doctrine-malékite.fr , du nom de l'école juridique sunnite fondée par Malîk ibn Anas (716-796) dont le principal ouvrage de charia, Al-Muwatta' comprend un chapitre entier sur "Le combat dans la voie de Dieu" (livre 21) qui préconise "d'abattre ceux qui ne croient pas en Dieu" , d'abattre "les gens qui se sont rasé le sommet de la tête", comprendre la tonsure de certains chrétiens. Concernant le butin de guerre très codifié, il est possible aux combattants de violer les femmes captives des vaincus. Page 450 de l'édition Al Bouraq, au sujet des captives de guerre, l'imâm Malik rapporte une question des guerriers de Mahomet à leur endroit :  "Comme nous les désirions, et que nous souffrions de notre célibat, nous avions voulu avancer des rançons en échange des captives, puis de cohabiter avec elles en éjaculant en dehors de l’utérus. Alors, nous nous dîmes : « Ferons nous cela sans le demander à Mahomet qui est parmi nous ? » En le lui demandant il répondit : « Il n’y a pas de mal à faire cela ». 

Concernant le dialogue inter religieux, l'imâm Malik était un précurseur, ainsi lit-on dans Al-Muwatta' disponible en Fnac: 
" Mâlik commente « Ce que nous pensons, et Dieu est le plus informé, au sujet de ceux qui ont apostasié sont à assommer, ceux qui renient l’islam et se convertissent à une autre religion tels les athées et leurs similaires, ceux-ci le déclarant, on les assomme aussi ».

Voilà donc la "doctrine" du fondateur de l"école malékite...


Dès la page d'accueil de Doctrine-Malékite.fr fondée par Bengarai, nous est proposé de se procurer la synthèse phare de l'école malékite, La Risâla (Epître) de Zayd al-Qayrawani (922 - 996):

Voici quelques extraits de l’ouvrage, dans une traduction de Mohammad Daura. :       
                                                          
37.19 Crimes contre l’islam : 
   « Les hérétiques (Zindiq) doivent être mis à mort et leur repentance est à rejeter. Un hérétique est quelqu’un qui dissimule sa mécréance en prétendant embrasser l’islam.[…] Un apostat doit aussi être tué sauf s’il se repent. Il lui est permis trois jours de grâce, si il refuse à utiliser la chance du repentir, l’exécution doit avoir lieu. La même chose s’applique aux femmes apostates.[…] Insulter le Messager de Dieu, il doit être exécuté même si sur ces entrefaites il accepte l’islam »   
                                                                                                 
37.30 Homosexualité :
« Si un homme commet l’acte de sodomie avec un mâle adulte consentant, les deux doivent être condamnés à mort, musulmans ou non. »   
                                                                                                  
Concernant le jîhâd voici le scan du chapitre 30, page 85, issu de l’exemplaire de l’Institut du Monde Arabe édité par l’Office des Publications Universitaires, Alger (code bibliothèque 244.221 IBN A).
 Si les "infidèles" refusent l' "invitation" (le fameux appel) à embrasser l'islam, ou le statut de dhimmi, ils doivent être combattus par les armes :



Nous avons contacté le directeur de la formation en ligne Agapan des Bernardins, Antoine Arjakovsky en mars 2015, en lui demandant s'il est normal qu'un professeur censé dispenser un cours de connaissance de l'islam, énonce de telles énormités sur la Bible et les soit disantes preuves scientifiques de l'origine divine du coran, le tout sous couvert d'une institution ecclésiastique. Au nom du "dialogue" interreligieux, Mr Arjakovsky nous a informé que monsieur Bengarai avait toute sa place au sein des Bernardins, et que l'évêque auxiliaire de Paris Monseigneur Beau supervise et garantit la qualité de l'enseignement.  Reçu aux Bernardins par monsieur Arjakovsky en juin 2015, après lui avoir demandé de communiquer nos trouvailles à la direction du collège, nous avons décidé, trois mois après qu'aucune mesure ne soit prise contre le professeur, de révéler ce scandale. Pour le directeur de la formation, il est normal qu'un apologète de l'islam sévisse dans cette institution sous couvert "d'Histoire de l'islam" , au nom du dialogue. Nous lui avons demandé s' il existe l'équivalent dans les institutions islamiques, si un professeur de christianisme était accepté en retour par exemple à la Grande mosquée de Paris à quelques centaines de mètres. Mais non, le "dialogue" , en fait un discours unilatéral sans contradiction, est à sens unique.  Quand au détour de notre entretien il a affirmé en tant que catholique " ce n'est pas la doctrine de l'Eglise catholique que de vouloir convertir les musulmans", nous avons compris à qui nous avions à faire.

Joachim Véliocas
Observatoire de l'islamisation.

jeudi 25 juin 2015

Comment la France a tenté d'exempter Jabhat Al-Nosra d'une qualification terroriste à l'ONU


Lu dans MondeAfrique du 16 juin 2015 :

"Un courrier de l'ambassadeur du Maroc à l'Onu montre comment les autorités françaises ont tenté de freiner l'inscription de la branche d'Al-Qaïda en Syrie, Al-Nusra, sur la liste des organisations terroristes.

« La décision des États-Unis de placer Jabhat Al-Nosra, un groupe djihadiste combattant aux côtés des rebelles, sur leur liste des organisations terroristes, a été vivement critiquée par des soutiens de l’opposition. M. Fabius a ainsi estimé, mercredi, que « tous les Arabes étaient vent debout » contre la position américaine, « parce que, sur le terrain, ils font un bon boulot » Lire la suite dans MondeAfrique.

mercredi 24 juin 2015

Histoire du Djihâd de l'Egypte à l'Europe : "les conquêtes appelaient d'autres conquêtes"




Documentaire proposé par la chaîne wahhabitte saoudienne IQRA disponible dorénavant en France par le bouquet Numéricable ou Freebox. Les conquêtes de l'Islam jusqu'à l'Europe sont explicitées et approuvées.

lundi 22 juin 2015

L'évêque d'Aix Mgr Dufour souhaite un bon ramadan en citant un auteur appelant au meurtre et au djihad.


Monseigneur Christophe Dufour, évêque d’Aix et Arles, écrit :
A vous, amis musulmans,
Vous commencez ce mois de Ramadan, temps de jeûne, de prière, de partage. En ce moment important nous prions Dieu qu’il vous bénisse.
Un hadith prophétique de votre tradition dit bien: « Nul d’entre vous n’est un croyant tant qu’il ne souhaite pour son frère ce qu’il souhaite pour lui-même. » (Les Quarante Hadîths de Nawawi, 13) Lire la suite du communiqué.
Dans les Quarante Hadîth du célèbre juriste sunnite An-Nawawi (1233-1277) cités respectueusement comme "prophétiques"  par Mgr Dufour on lit :

Le hadith n° 8 :«Il m'a été ordonné de combattre les hommes jusqu'à ce qu'ils témoignent qu'il n'est d'autre divinité qu'Allah, et que Mohammed est Son Envoyé, qu'ils accomplissent la prière rituelle, qu'ils acquittent la Zekâa »


Le hadith n°14 :«Il n'est pas licite de faire couler le sang du musulman, sauf s'il s'agit d'un des trois coupables que voici: le fornicateur dont le mariage a été consommé, le meurtrier qui subira le sort de sa victime, et l'apostat qui se sépare de la communauté musulmane». 

Le hadith n°17 :«Certes, Allah a prescrit de pratiquer le bien en toutes choses. Lorsque vous tuez, tuez bien. Lorsque vous égorgez, égorgez bien. Que chacun de vous aiguise son couteau et traite bien sa victime».


Le hadith n°29: "Veux-tu que je te montre la partie principale de la religion, sa colonne vertébrale et son sommet ?" "Oui, ô Envoyé d'Allah", répondis-je. Il répondit: "La partie principale de la religion c'est la soumission à Allah, sa colonne c'est la prière rituelle, et son sommet la guerre sainte" 


Dans son livre "Riyad As-Salihin" [Les jardins des saints], un chapitre est entièrement consacré à la "guerre sainte" Il s'agit clairement, suivant les  enseignements du "prophète", de combattre les "idolâtres" les "polythéistes" et plus généralement ceux qui n'attestent pas que Mahomet est l'envoyé d'Allah. On y lit :"390. Selon Ibn 'Omar , le Messager de Dieu a dit : « On m'a ordonné de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils attestent qu'il n'est pas de divinité hormis Dieu, que Muhammad est l'Envoyé de Dieu, qu'ils accomplissent la salat et qu'ils s'acquittent de la zakat. S'ils s'en acquittent, alors ils préservent de moi leur vie et leurs biens, excepté dans le cas où ils sont coupables au regard de l'islam, et Dieu les jugera en dernier ressort. » 

Il serait trop fastidieux de citer tous les hadîth de Nawâwi prônant la guerre contre les non-musulmans. L'évêque d'Aix et Arles doit revenir sur son communiqué,  exprimer ses regrets, reconnaitre son énorme bourde, ou être considéré comme un hérétique. Manifestons lui notre indignation :


mercredi 17 juin 2015

Comment Sarkozy a installé les islamistes en Libye



Extrait du livre "Histoire secrète des Frères Musulmans" de Chérif Amir, docteur en géopolitique à Paris VIII préfacé par Alain Chouet ( ex DGSE) , paru chez Ellipse en 2015, pages 201 :

"Le renversement de Mouammar Kadhafi par les milices islamistes des Frères Musulmans libyens avec l'aide militaire de l'OTAN, a plongé le pays dans un véritable chaos sécuritaire, extrêmement dangereux pour tous ses voisins. Dès la chute du régime de Tripoli un gouvernement dirigé par un membre libyen de la confrérie, Mostapha Abdel Jalil, fut instauré et des milices locales appartenant aux Frères Musulmans commencèrent à contrôler les villes importantes comme Benghazi et les zones d'exploitation d'hydrocarbures, dont la production est achetée par les Etats européens et la Turquie. Une époque de terreur s'ouvrit, car les groupes islamistes, soutenus par Ankara, financés par le Qatar et tolérés par les gouvernements européens cherchèrent alors à "purifier" la Libye des partisans du dictateur Mouammar Kadhafi, avant d'imposer leur loi et leur vision politique sur le terrain. Cette situation permit la création d'une enclave islamiste à Bengazi, qui devint la base arrière des Frères Musulmans égyptiens? Le pays passa finalement sous le contrôle politique des militants islamistes, puisque le frère d'Abu Yahya El-Libi - le numéro deux d'al Qaeda après Ayman El-Zawahri- fut nommé président du Conseil législatif libyen, et qu'Abdel Hakim Belhadj, l'ancien chef du Groupe islamique combattant libyen (GICL) fut désigné gouverneur de Tripoli."

Le 20 avril 2011, l'islamiste Mostapha Abdel Jalil fut accueilli par Nicolas Sarkozy à l'Elysée, qui lui déclara publiquement : "Nous allons vous aider. Comme le font les Anglais, il y a des éléments militaires qui se trouvent avec notre représentant diplomatique auprès du CNT (Consiel National de Transition)". Le chef du Commandement des Opérations Spéciales (COS) , le général Christophe Gomart précisa a postériori à l'auteur du livre "La vérité sur notre guerre en Libye" Jean-Christophe Notin que "l'envoi des forces spéciales a été décidé bien plus tôt, dès le début des opérations, en Conseil de défense restreint, sur proposition de l'Etat Major des Armées" infirmant la version de Sarkozy niant l'implication de nos hommes au sol.

La description des parachutages d'armes aux islamistes est aussi éloquente, page 391 dans le livre de Notin qui fait référence. Des avions de transports qataris acheminaient des cargaisons d'armes jusqu'à Istres, pour ensuite être parachutées en caisses par les unités de transport de l'Armée de l'air Béarn et Anjou. Le tout dans le plus grand secret et envers tout mandal de l'ONU. 

Une fois la victoire acquise , Hamza Abufares de la Ligue islamique mondiale wahhabitte et du Conseil européen de la fatwa des Frères Musulmans, sera propulsé ministre des Affaires religieuses, avec la bénédiction de l'Elysée.

lundi 15 juin 2015

Les groupes islamistes étrangers invités par Cazeneuve et Valls au ministère pour faire croire à "l'islam de France"


Parmi les invités de la Place Beauvau ce lundi 15 juin pour "dialoguer" avec la République, on retrouve les organisations les plus radicales dont certaines ne cachent pas défier les lois françaises. Une semaine après avoir invité les lecteurs des sites islamistes pro Hamas et pro Frères Musulmans (Saphirnews, Oumma…) le ministère de l'Intérieur démontre que seuls les islamistes incarnent l'islam pratiqué en France, faute d'avoir trouvé d'interlocuteurs "modérés" et français. Ou comment Bernard Cazeneuve  et Manuel Valls amalgament le temps d'une journée islamisme radical et musulmans.

Parmi les invités :

- UAM93 regroupant une trentaine d'associations de Seine-Saint-Denis  

Sur  le site internet de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis on trouve une Lettre ouverte  écrite par Daniel Youssef Leclercq, principal rédacteur de l'UAM93.  L'auteur affirme clairement que si une loi est votée afin d'interdire la burqa, elle ne sera pas considérée comme légitime car en contravention avec la Charia (Loi de Dieu) :

"Ultime provocation, on exige des Musulmans d’opter sans réserves pour les lois (humaines) de la République et de renoncer aux Lois de Dieu, sous peine de sanctions. Mais, liberté de penser oblige, rien n’oblige à adhérer à une quelconque loi quand bien même elle serait votée par une majorité d’inconscients""
(...)
"En conclusion, les grands muftis de la République laïque pourront toujours aboyer cela n’empêchera pas la caravane islamique de continuer son chemin jusqu’à sa destination finale."

Yussef Leclerc, principal rédacteur du site de l'UAM93 avait déclaré que « Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! »
 [Aziz, Philippe. "Le paradoxe de Roubaix" éd. Plon, Ch IV au nom du Djihad, p 90-91]
Dans un autre article trouvé sur le site de  l'UAM93 on lit :

" La République a beau répéter et placarder partout que son idole avait le visage dévoilé (2), les vrais Musulmans n’en ont que faire. Leur foi implique, en effet, la croyance au fait que l’Omniscient, le Sage, Celui qui connaît intimement Ses créatures sait mieux ce qui est bon pour eux.(...)Le Coran nous enseigne que Dieu, dans son infinie miséricorde, a révélé une multitude de législations poursuivant les mêmes fins bien que divergentes sur les moyens à mettre en œuvre (3). Sa dernière législation, la voie (sharia) islamique, intervient à un stade d’avancement intellectuel de l’humanité tel qu’elle demeure valable selon toutes les époques et tous les contextes géographiques, sociétaux, etc. "Lire sur le site de l'UAM93

L'UAM93 fêta l'accession au pouvoir des Frères Musulmans en Tunisie, certains de ses membres purent retourner à cette occasion dans leur pays, car ils étaient interdits de séjour sous Ben Ali pour appartenance aux Frères Musulmans. Heureusement que la république française les a accueilli pendant ces longues années d'exil.

- L'UOIF : Union des Organisations islamiques de France 

L'UOIF est la branche des Frères Musulmans en France, invitant depuis 30 ans tous les chefs régionaux de l'organisation internationale à son congrès du Bourget rassemblant presque 100 000 personnes chaque année. L'UOIF a invité ces dernières années les cheikhs les plus extrémistes qui appellent à exterminer les juifs (Qaradawi, Higazi) à conquérir l'Europe (Swaidan), à tuer les homosexuels (Qaradawi) dont tous bénissent les terroristes du Hamas et des Frères égyptiens qui ont attaqué les églises après leur éviction du pouvoir en 2013.

 - Le salafiste Fateh Kimouche du site Al-Kanz 


- Le CCIF (comité contre l'islamophobie en France) dont le principal animateur a déclaré à la mosquée d'Orly en 2011 :  :

Le CCIF avait condamné l'attitude responsable d'un directeur de colonie de vacances qui imposait aux animateurs qui conduisaient les enfants de s'alimenter normalement, alors que ceux-ci faisaient le ramadan.


Même Libération a réagit quant à l'identité des invités de la Place Beauvau tellement le casting est indéfendable et sert les tenants des amalgames entre islamistes et musulmans.



vendredi 12 juin 2015

Egypte : un chef salafiste veut surtaxer les Chrétiens et les discriminer légalement.



Les salafistes ont remporté 25% des suffrages en 2011...

Etat islamique : Nouvelle exécution d’homosexuels jetés du toit d’un immeuble tête la première


Lu sur Memri :

Le 3 juin 2015, l’Etat islamique (EI) dans la province de Ninive, en Irak, a mis en ligne des photos d’une exécution publique à Mossoul de trois hommes reconnus coupables d’homosexualité. [1] Le rapport, intitulé « Application du châtiment de ceux qui ont commis des actes d’homosexualité » a été publié sur le forum djihadiste Shumoukh Al-Islam (Shamikh1.info) et diffusé via les médias sociaux. Les trois hommes, yeux bandés, sont jetés la tête la première du toit d’un immeuble devant une foule de spectateurs, y compris des enfants. Lire la suite

Le meurtre des homosexuels est prescrit dans tous les livres de charia, même ceux préconisés par la Grande Mosquée de Paris ou vendus à l'IMA. (Risâla de Al-Qaraywani notamment).

LIBYE - L’État islamique profite du chaos politique pour conquérir Syrte

jeudi 11 juin 2015

Les chrétiens d'Egypte face aux islamistes : le Père Boulad témoigne.



Interview du père jésuite Henri Boulad le 28 mai 2015 à Paris. Sont abordés de nombreux sujets durant une heure: 

- Les exactions des Frères Musulmans au pouvoir et leur répression.
- La révolution populaire qui a porté le maréchal Sissi.
- La condition des Coptes en Egypte avant et après le passage des Frères Musulmans au pouvoir (2011-2013).
- la naïveté dans le dialogue islamo-chrétien.
- les échecs de toutes les tentatives de réformer l'islam.

La police débordée par un assaut de clandestins violents à Calais

Discours sur l'islam du Père Boulad à l'Assemblée Nationale


A l'invitation du député des Yvelines Jean-Frédéric Poisson, le père égyptien jésuite Henri Boulad a discouru le 27 mai 2015 au sein de l'Assemblée Nationale sur les enjeux de la montée du radicalisme chez les musulmans, la condition des Chrétiens en Terre d'islam et les menaces qui pèsent sur l'Europe.

mercredi 10 juin 2015

Un individu détruit les "idôles" d'une chapelle à Chelles (77) : islamiste ou évangéliste ?


Lu dans Le Parisien du 9 juin 2015 :

"Désagréable surprise, jeudi dernier, pour les fidèles de l’église Sainte-Bathilde, qui ont trouvé les restes de deux statues vandalisées, retrouvées dans le jardin qui se trouve derrière le lieu de culte. La première est une statue représentant Sainte-Bathilde sur laquelle a été retrouvée du liquide inflammable ainsi que des traces de combustion.

Une autre statue, de Sainte-Thérèse, a été cassée en plusieurs morceaux et est également roussie en divers endroits.
Ces actes, qui se seraient déroulés vers 13 heures, étaient accompagnés d’une grande banderole à l’écriture confuse, accrochée à l’intérieur de l’édifice moderne. Le message s’inspirait vaguement d’un précepte de l’Ancien Testament selon lequel il est interdit de représenter Dieu. Son auteur a probablement voulu dénoncer la « vénération des idoles ». Il a signé « Amen ».
Philippe de Kergorlay, le curé de Chelles, s’est rapidement exprimé sur le sujet pour rassurer ses ouailles. « Nous ne nous laisserons pas intimider par des délinquants. Il n’est pas question de restreindre notre liberté de culte », a ainsi déclaré l’homme de foi, qui a également rappelé qu’à « travers le culte des images, c’est la reconnaissance de l’Incarnation du Fils unique de Dieu qui est affirmée ».

Au commissariat de Chelles, chargé de l’enquête, on pense qu’il s’agit là d’un « acte isolé commis par un déséquilibré » plutôt que le début d’une campagne de vandalisme antichrétien."

Ni les journalistes du Parisien ni les gendarmes ne font le lien avec la doctrine islamique qui interdit clairement les représentations imagées et statues. Alors que l'Etat islamique a une forte attraction chez les jeunes islamistes en France, et que la référence à Sodome et Ghomore de l'Ancien Testament est très utilisée par eux pour justifier les pires atrocités comme le meurtre des homosexuels. La piste d'un fondamentaliste protestant n'est pas non plus à exclure.

Le philosophe Alain de Benoist rappelait dans un récent discours sur "l'art de la représentation" les différences entre l'art européen et l'art islamique :

"Cette prescription iconoclaste se retrouve dans la religion islamique, mais ses bases théoriques sont plus minces. Certes, le Coran dénonce fréquemment les idoles (al-âçnâm), mais les termes « image » (çûra) et « représentation » (rasm) sont généralement absents du contexte. Tout au plus trouve-t-on certains passages où les « idoles » sont assimilées à des statues ou à des stèles, dont la vénération est interdite (XXI, 52 ; XXXIV, 13).
C’est en fait vers la tradition islamique à partir des VIIe et VIIIe siècles, et vers les recueils de h’adîth-s codifiés dans la seconde moitié du IXe, qu’il faut se tourner pour trouver des textes plus explicites. Al-Bukhâri, par exemple, rapporte des dires du Prophète indéniablement hostiles aux images : « Les anges n’entrent pas dans une pièce qui contient un chien ou une représentation statuaire figurée (timthâl) » (34, 40) ; « Celui qui fabriquera une image, Dieu le punira jusqu’à ce qu’il insuffle une âme : ce qu’il sera à jamais incapable de faire » (77, 92) ; « Parmi ceux qui subiront les tourments les plus rigoureux au jour du Jugement dernier, il y aura ceux qui auront tracé [des] représentations figurées » (78, 75). Il faut également citer la célèbre fatwâ de Nawâwi, au XIIIe siècle : « Les grandes autorités de notre école et des autres tiennent que la peinture d’une image de tout être vivant est strictement défendue et constitue l’un des péchés capitaux (…) La fabrication en est interdite en toute circonstance, parce qu’elle implique une copie de l’activité créatrice de Dieu ». De tels propos sont dénués d’ambiguïté. C’est pourquoi il n’existe pas de théologie islamique de l’image, cette dernière, dans la tradition musulmane comme dans la tradition juive, étant au moins tenue pour suspecte." Source


mardi 9 juin 2015

Bernard Cazeneuve réaffirme les aides des collectivités et mairies aux mosquées


Islam : le financement sera réglé par la... par oumma

Les islamistes de l’AKP font de meilleurs scores en France qu’en Turquie (73% à Lyon)

Lu sur  ZamanFrance


"Sur les 311 802 Franco-Turcs et Turcs inscrits sur les listes électorales en France, 113 542 personnes se sont déplacées aux 6 consulats pour déposer leurs bulletins dans l’urne. Le taux d’abstention s’élève donc à 63 %. 


Selon le dernier décompte, l’AKP (parti de la justice et du développement, centre-droit) arrive en tête avec 50,4 % (56 350), suivi du HDP (parti démocratique des peuples, parti pro-kurde) qui obtient 29,6 % (33 101), du CHP (parti républicain du peuple, parti de gauche kémaliste) avec 9,5 % (10 721) et le MHP (parti du mouvement nationaliste, droite) qui se contente de 6,9 % (7808). 

L’AKP en tête dans 4 consulats
L’AKP s’impose aisément à Strasbourg, Lyon, Nantes et Bordeaux. Le résultat atteint même les 73 % à Lyon. En août 2014, Tayyip Erdogan avait recueilli 84 % des voix à l’élection présidentielle dans cette ville, bastion de l’AKP. Lire la suite sur  ZamanFrance

lundi 8 juin 2015

Le père de Mohamed Achamlane comprend la révolte de son fils djihadiste !



"Pour lui le message du prophète d'Allah c'est son patrimoine, c'est son capital faut pas qu'on touche à ça, c'est sacré. Pour moi comme tous les musulmans car quand on voit une cascade d'insultes un moment donné on se révolte" Le père de Mohamed Achamlane du groupe islamo terroriste Forzan Alizza.

La nouvelle mosquée de Strasbourg inaugurée avec les anciens combattants et l'archevêque Mgr Grallet.


Lu dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace du 5 juin 2015 (extrait) :


"La vie de la mosquée de la rue de l’Ill a commencé avec une cérémonie interreligieuse et républicaine à haute valeur symbolique, vouée à rester dans les mémoires.

Ce n’est pas tous les jours qu’on inaugure une mosquée. Hier, on était le 4 juin 2015. On était aussi le 17 chaâban 1436, mois du ramadan selon le calendrier islamique, indique la plaque inaugurale dévoilée par le maire, Roland Ries, et le président de la mosquée, Chaïb Choukri.
Inutile d’essayer de citer tous les invités, l’ACDR (association culturelle des Deux-Rives) n’a voulu oublier personne, conviant élus de toutes les collectivités, associations, paroisses, sans compter les anonymes qui avaient pris place dans la rue de l’Ill barrée à la circulation, face aux lignes sobres de la mosquée conçue par l’atelier ODM.

Journée historique

Les porte-drapeaux des associations d’anciens combattants se tenaient devant la mosquée. Façon notable de témoigner l’attachement aux valeurs de la République, façon aussi de s’aligner sur les usages des religions concordataires (dont l’islam ne fait pas partie), qui font la prière pour la France.
Autre symbole, plus attendu, la présence des différentes confessions, ainsi René Gutman, grand rabbin de Strasbourg, Mgr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg. Lire la suite
Mosquée financée à hauteur de 10% par la ville de Strasbourg, soit 150 000 euros sur les 1,5 millions que coûte l'édifice. Une surface de 400m2 dans un terrain de 1 137m2 attribué par la municipalité par le biais d'un bail emphytéotique. 

vendredi 5 juin 2015

Dossier Marianne "Les Complices de l'islamisme" : décryptage



Dans son numéro de mai 2015, Marianne réalisait enfin un dossier sur la bienveillance voire l'engagement pro actif des politiques envers les islamistes. Décryptage par l'auteur de Ces Maires qui courtisent l'islamisme, paru en 2010 dans sa première édition, que Marianne ne cite pas au contraire de Valeurs Actuelles qui évoqua la seule étude sur le sujet. 

jeudi 4 juin 2015

Conférence de Véliocas sur les aides aux mosquées UOIF par les partis républicains



Extrait de la conférence de Joachim Véliocas à La Traboule de Lyon du 8 avril 2015.

Sur 190 lieux de culte musulmans en chantier (ou inaugurés depuis 2011), on constate que 114 projets ont été rendus possibles grâce à la cession d'un terrain municipal (dont 76 terrains vendus après déclassement et 38 terrains mis à disposition par bail emphytéotique administratif = durée 99 ans).

mercredi 3 juin 2015

En quête d'Actualité (D8) sur les islamo-terroristes qui pullulent "dans toutes les promenades de prison"


En quête d'actualité a tourné un reportage choc dans l'établissement pénitentiaire de Lyon-Corbas, juste après les attentats de janvier contre Charlie Hebdo.

Quelle menace représente l'islamisme radical dans les prisons françaises? Pour tenter de répondre à cette question, Guy Lagache, directeur de l'information de D8 et présentateur du magazine En quête d'actualité, a envoyé ses journalistes passer plusieurs semaines, juste après les attentats de janvier à Paris, dans la prison de Lyon-Corbas. Le résultat est un reportage choc, intitulé Menace terroriste: plongée au coeur de nos prisons, diffusé ce mercredi soir. 

Comment ne pas être choqué quand un détenu, qui demande à s'exprimer devant la caméra, minimise la gravité des attaques contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher: «Ce ne sont que dix-sept morts, c'est bon, il y en a tous les jours, des morts. (...) Ce n'est pas non plus un méchant drame» ? Le même homme, qui confie ne pas regarder la télévision, un signe d'extrémisme selon les gardiens, assure que la radicalisation en prison n'existe pas. Lire la suite